Christine Morency : la beauté est dans la tête de qui la projette
Pour ce premier épisode de la rubrique « Les grosses entrevues », on a rencontré l’humoriste québécoise Christine Morency dans un café montréalais.
Pour ce premier épisode de la rubrique « Les grosses entrevues », on a rencontré l’humoriste québécoise Christine Morency dans un café montréalais.
Comment peut-on commencer à MIEUX soigner les personnes grosses, dès le départ ? Pour avoir à MOINS les soigner, en bout de ligne ?
La diversité corporelle (body positivity) a rapidement été reprise dans les médias sociaux par des influenceur·euses non-gros et par les compagnies de marketing afin de normaliser « les petits plis » de monsieur, et surtout, madame tout-le-monde.
Somme toute, on veut souligner quoi, au juste, le vendredi 11 octobre? La lutte contre l’obésité ou la lutte contre… les
personnes grosses?
On vous explique la nuance entre diversité corporelle/body positive, fat acceptance et acceptation de soi pour y voir plus clair.
L’Halloween arrive à grands pas. Et il semble important de faire ce petit rappel sympathique, mais important. Gros·se n’est pas un déguisement.
Du moins, pas de t-shirts promotionnels et autre tops corporatifs, au-delà d’un XXL. Ou alors cette industrie ne veut / sait pas qu’elles existent.
Passé une certaine taille, les corps plus gros laissent peu de personnes indifférentes. Consciemment ou non, la vision d’une personne au poids qu’on devine élevé tend à causer des questionnements chez les gens qui la voient.
Certaines des publications récentes sur le blogue et la page Facebook de Grossophobie.ca ont démontré qu’il semble y avoir beaucoup d’incompréhension quant aux propos formulés par notre équipe de rédaction face à la « célébration » de la perte de poids.
Le caractère insidieux de la grossophobie devient encore plus évident lorsqu’on se penche sur la notion du « bon » et du « mauvais » gros. Cette division en deux catégories permet une forme d’intimidation ouvertement acceptable envers certaines personnes grosses.