La grosseur qui genre
La perception de la grosseur peut nuire à l’épanouissement de l’identité de genre des personnes grosses non-binaires.
Cette rubrique est inspirée de l’actualité.
Elle démontrera en quoi la grossophobie, le culte de la minceur, la culture de la diète (« diet culture ») et la mince-plication (« thin-splaining ») sont toujours parties intégrales la société.
La perception de la grosseur peut nuire à l’épanouissement de l’identité de genre des personnes grosses non-binaires.
Dr Maurice Larocque fait partie des « professionnel(le)s de la santé » pour qui toutes les raisons sont bonnes de faire preuve de grossophobie.
Ami(e)s artistes : vous savez ce qui perturberait VRAIMENT le système en place ? Faire quelque chose qui n’existe à peu près pas.
Alors que le Grand Déconfinement s’amorce, l’angoisse du retour à la normal se pointe le bout du nez pour plusieurs personnes grosses, notamment celles dont le poids a changé pendant la pandémie.
Pour surfer la vague de la diversité et de l’inclusion, ça prend… du vrai taille plus SVP !
S’il est essentiel d’avoir différentes journées thématiques consacrées à la valorisation de la diversité des images corporelles, il est aussi crucial de ne pas retomber dans ses (mauvaises) habitudes juste après.
Les personnes grosses sont/seraient-elles jugées moins aptes à survivre ou guérir en cas de manque de matériel ? Un questionnement éthique et sérieux qui s’impose. Et qui peut faire (très) peur.
La pandémie liée au virus COVID-19 nous oblige, Catherine et moi, à consacrer davantage d’heures à nos occupations professionnelles.
Avec la nouvelle année bien installée, les publicités de méthodes et de produits de pertes de poids sortent de partout. On trouvait que c’était un bon moment pour offrir ce petit rappel sympathique…
Dès que Noël est passé, on le sait, les résolutions du Nouvel An commencent à pleuvoir. Dans le tourbillon de la fin d’année, certaines semblent plus tentantes que d’autres…