Ceci est un “brave space”.
Une nouvelle tendance émerge : les « brave spaces ». Des lieux d’échanges qui ne sont pas limités aux personnes vivant une réalité précise.
C’est sous cette rubrique que l’on retrouve les différents éditos publiés et les moments coups de gueule du blogue de Grossophobie.ca – Infos & référence.
Une nouvelle tendance émerge : les « brave spaces ». Des lieux d’échanges qui ne sont pas limités aux personnes vivant une réalité précise.
On est grossophobe, même si on l’est “juste un peu”. Il n’existe pas de niveau de grossophobie qui rend la chose positive ou même “moins pire”.
Avant qu’on m’accuse de faire “la promotion de l’obésité”, sachez que je ne souhaite à personne d’être ou de le devenir gros(se).
Sais-tu ce que dit l’article 4 de la Charte ? Que « Toute personne a droit à la sauvegarde de sa dignité, de son honneur et de sa réputation. »
Quand vient le temps de parler de grossophobie, personne ne voit complètement clair. Personne n’a une vue de 20/20.
Devant l’injonction de s’aimer, toutes et tous n’ont pas les mêmes opportunités et les mêmes capacités à faire la paix avec leur corps.
Il existe un pseudo-consensus anglo-franco, au Canada et aux États-Unis, quand on désigne les personnes grosses… mais qu’en est-il de la France ?
Une certaine chroniqueuse persiste à ramener le fait que Grossophobie.ca ait dénoncé des propos grossophobes de Nathalie Simard, lors de sa sortie post-chirurgie. Elle soulève aussi que notre équipe aurait (eu) une réaction différente si un homme passait par le même processus…
Petite rétrospective maison de l’année 2020 par l’équipe de rédaction de Grossophobie.ca !
La Charte des droits et libertés de la personne du Québec ne protège pas en matière de discrimination basée sur l’apparence, le poids ou la grosseur.