Depuis quelques années, une des répliques courantes sur les médias sociaux, lorsqu’on présente des modèles taille plus, est à l’effet dela beauté. Les fameux « Moi, j’aime pas ça. » et « Je trouve pas ça beau ».
À l’image de la culture du viol, la culture de la diète consiste à maintenir un sentiment d’inadéquation de la femme.. Ce sentiment maintient cette dernière en position de soumission, de faiblesse.
Ce texte est rédigé en réponse à « Des barrières mentales à surmonter » paru dans La Presse+ le 25 août 2019.
Pourquoi accuse-t-on alors les personnes grosses, menant une vie considérée normale pour les « non-gros(ses) », de faire la promotion de l’obésité ?
Le 15 août dernier, la compagnie de « bien-être » WW (anciennement Weight Watchers) lançait son nouveau programme destiné aux enfants âgés de 8 à 17 ans.
Dans une récente « chronique » où il dénonce « le culte des marginaux », Richard Martineau s’annonce en pourfendeur du misérabilisme. À peine deux jours après le grand défilé de clôture de Fierté Montréal, cet ode annuel à l’ouverture… il en remet une couche en matière d’intolérance.
Gros coup de coeur pour les « hoodies » (chandails à capuchons) « Pride Flag » de la marque Simakai. Cette collection fait AUSSI honneur à la diversité des corps, puisque ces hoodies sont disponibles jusqu’en taille 4X !
L’émission matinale « Salut bonjour » abordait hier le sujet chaud de la diversité corporelle. 8 min 30 pour parler d’un sujet en ondes ? Du luxe. Sauf que…
Comme on en parle dans la page destinée aux personnes alliées non-grosses, une des meilleures façons de « s’habituer » à l’esthétique des corps gros, c’est de s’y exposer. Voici une belle opportunité de le faire tout en encourageant une artiste d’ici.
Dans un très intéressant reportage de L’actualité par Marie-Hélène Proulx sur l’industrie du cannabis comestible, on peut lire qu’un des joueurs québécois importants de l’industrie du cannabis légal a le vent dans les voiles…