Accessibilité : comparer des pommes et des oranges
Un pan entier de la population qui ne vit pas (nécessairement) avec un handicap est confronté à des problèmes d’accessibilité : les personnes grosses.
Un pan entier de la population qui ne vit pas (nécessairement) avec un handicap est confronté à des problèmes d’accessibilité : les personnes grosses.
Annie Picard de Slasheuse.co nous explique pourquoi Google peut sembler grossophobe… et ce qu’on peut essayer de faire pour régler ça !
La perception de la grosseur peut nuire à l’épanouissement de l’identité de genre des personnes grosses non-binaires.
Avant qu’on m’accuse de faire “la promotion de l’obésité”, sachez que je ne souhaite à personne d’être ou de le devenir gros(se).
Une abonnée de nos réseaux sociaux m’a récemment partagé la bande annonce d’une nouvelle série intitulée… Le poids de l’amour. On y suit trois couples québécois dans leur quête… de minceur.
La compagnie pharmaceutique Novo Nordisk s’offre une « reine », connue pour sa silhouette qui détonne à Hollywood, pour porter son infopub aux allures de santé publique.
L’inclusion des personnes grosses ne se fait pas avec le même effort que celle des personnes discriminées mais « protégées » par la loi.
Qu’ont en commun les restaurants Planète Poutine et Cie et la microbasserie Archibald ? Le même texte douteux dans une de leur publicité…
Quand vient le temps de parler de grossophobie, personne ne voit complètement clair. Personne n’a une vue de 20/20.
L’Université d’Otago en Nouvelle-Zélande annonçait en grande pompe que ses chercheurs avaient développé le DentalSlim, « une première mondiale en matière de dispositif de perte de poids »…