Quand la crédibilité a un poids limite…
La proportion de sympathie – ou d’outrage – témoigné à l’égard d’une personne ne doit jamais être justifiée par l’attirance ou la beauté que l’on « assigne » à cette personne.
La proportion de sympathie – ou d’outrage – témoigné à l’égard d’une personne ne doit jamais être justifiée par l’attirance ou la beauté que l’on « assigne » à cette personne.
Pour surfer la vague de la diversité et de l’inclusion, ça prend… du vrai taille plus SVP !
Qu’est-ce qui a le potentiel d’être aussi tabou et marginalisé que le fait d’être gros(se) ? Vivre avec la transpiration excessive !
Des candidat(e)s à un programme québécois de formation de préposé(e)s aux bénéficiaires se sont vu(e)s refuser l’accès au programme à cause de leur IMC…
Un échange qui, s’il manque (souvent) de civilités et de respect, est une bonne nouvelle. Car la faction des outré(e)s par la grossophobie est de plus en plus importante.
Une pub où on utilise une personne grosse à qui associe une consommation alimentaire outrancière est-elle le meilleur véhicule pour sensibiliser à la précarité alimentaire et à l’achat local ?
S’il est essentiel d’avoir différentes journées thématiques consacrées à la valorisation de la diversité des images corporelles, il est aussi crucial de ne pas retomber dans ses (mauvaises) habitudes juste après.
Les personnes grosses sont/seraient-elles jugées moins aptes à survivre ou guérir en cas de manque de matériel ? Un questionnement éthique et sérieux qui s’impose. Et qui peut faire (très) peur.
Après 2 semaines d’isolement à cause de la COVID-19, on a constaté une autre pandémie. La pandémie de grossophobie qui ressort de ce confinement forcé…
La pandémie liée au virus COVID-19 nous oblige, Catherine et moi, à consacrer davantage d’heures à nos occupations professionnelles.