Pandémie de… grossophobie?
Après 2 semaines d’isolement à cause de la COVID-19, on a constaté une autre pandémie. La pandémie de grossophobie qui ressort de ce confinement forcé…
Après 2 semaines d’isolement à cause de la COVID-19, on a constaté une autre pandémie. La pandémie de grossophobie qui ressort de ce confinement forcé…
La pandémie liée au virus COVID-19 nous oblige, Catherine et moi, à consacrer davantage d’heures à nos occupations professionnelles.
De plus en plus, des voix alliées sur les questions de grossophobie commencent à s’élever. C’est une excellente nouvelle, mais comme dans tout phénomène, l’augmentation des messages décuple les risques d’accaparement et de détournement des discours…
On a parlé à quelques occasions de grossophobie internalisée. Récemment, le sujet est revenu dans deux de nos publications consacrées à la place de la grossophobie dans un contexte de désir ou de mesures d’amaigrissement.
Récemment, on a publié un article pour ouvrir la réflexion sur l’aspect grossophobe de la perte de poids. On a eu envie de préciser certains enjeux qui peuvent ne pas être évidents à première vue pour bien comprendre en quoi la perte de poids est très souvent grossophobe.
Est-ce que perdre du poids, c’est toujours grossophobe…? S’il est une question sur laquelle il existe un choc des idées et des mentalités, c’est bien celle-là.
L’amour c’est beau, mais pas toujours. C’est pourquoi on a décidé d’aborder un sujet plutôt tabou, soit les violences amoureuses et la grossophobie.
Ah, les fameux « avant/après »! Cette représentation visuelle (souvent en photo ou vidéo) d’une personne avant un processus de perte de poids et après celui-ci.
L’épisode du 7 février des « Aventures du Pharmachien » avait pour thème « Le poids et la santé »…
On a tendance à utiliser certains termes problématiques pour identifier superficiellement certaines émotions ou réalités biologiques plus complexes.