Déjà 3 ans!
Le 5 août 2019, Grossophobie.ca faisait son arrivée sur le web. 60 000 visiteurs uniques plus tard, le site célèbre son 3e anniversaire et demeure une source d’information de choix et le chef de file dans son domaine.
Le 5 août 2019, Grossophobie.ca faisait son arrivée sur le web. 60 000 visiteurs uniques plus tard, le site célèbre son 3e anniversaire et demeure une source d’information de choix et le chef de file dans son domaine.
La perception de la grosseur peut nuire à l’épanouissement de l’identité de genre des personnes grosses non-binaires.
Des fatbabes et leurs allié·es viennent dire « non » à la grossophobie et « oui » à la diversité corporelle et la célébration de soi.
Une nouvelle tendance émerge : les « brave spaces ». Des lieux d’échanges qui ne sont pas limités aux personnes vivant une réalité précise.
On est grossophobe, même si on l’est “juste un peu”. Il n’existe pas de niveau de grossophobie qui rend la chose positive ou même “moins pire”.
Dr Maurice Larocque fait partie des « professionnel·les de la santé » pour qui toutes les raisons sont bonnes de faire preuve de grossophobie.
Avant qu’on m’accuse de faire “la promotion de l’obésité”, sachez que je ne souhaite à personne d’être ou de le devenir gros·se.
La chanteuse Renee Wilkin a plus d’une corde à son arc. Après s’être bien implantée sur la scène musicale québécoise, elle vient de lancer son 3e livre jeunesse, intitulé « Le joli bedon rond de Marion ».
Pierre Lavoie, philanthrope vedette du sport québécois, a désormais un nouveau défi. Combattre sa propre grossophobie.
Une abonnée de nos réseaux sociaux m’a récemment partagé la bande annonce d’une nouvelle série intitulée… Le poids de l’amour. On y suit trois couples québécois dans leur quête… de minceur.