Attiser la haine avec sa notoriété
Il ne faudrait pas confondre la « divergence d’opinion » avec des propos qui frôlent dangereusement la fomentation volontaire à la haine.
Il ne faudrait pas confondre la « divergence d’opinion » avec des propos qui frôlent dangereusement la fomentation volontaire à la haine.
La chanteuse Renee Wilkin a récemment lancé le clip du remix de la chanson « Elle est belle ». Après avoir « osé » – et s’être fait reprocher! – le port d’un pantalon jaune et d’un crop top à l’émission Bonsoir bonsoir, elle récidive.
Un échange qui, s’il manque (souvent) de civilités et de respect, est une bonne nouvelle. Car la faction des outré(e)s par la grossophobie est de plus en plus importante.
Une pub où on utilise une personne grosse à qui associe une consommation alimentaire outrancière est-elle le meilleur véhicule pour sensibiliser à la précarité alimentaire et à l’achat local ?
On a parlé à quelques occasions de grossophobie internalisée. Récemment, le sujet est revenu dans deux de nos publications consacrées à la place de la grossophobie dans un contexte de désir ou de mesures d’amaigrissement.
On a tendance à utiliser certains termes problématiques pour identifier superficiellement certaines émotions ou réalités biologiques plus complexes.
À l’aide de commentaires réels tirés de Facebook, des mythes liés au poids sont ici illustrés pour être mieux… démentis.
Un enfant gros, seulement présenté par son tronc dénudé, mettant l’accent sur son ventre rond et ses plis. Ce n’est pas la première fois qu’on présente des troncs étêtés de corps gros lorsque les médias parlent « d’obésité ».
Pour ce premier épisode de la rubrique « Les grosses entrevues », on a rencontré l’humoriste québécoise Christine Morency dans un café montréalais.
La diversité corporelle (body positivity) a rapidement été reprise dans les médias sociaux par des influenceur(euse)s non-gros et par les compagnies de marketing afin de normaliser « les petits plis » de monsieur, et surtout, madame tout-le-monde.