Les lunettes grossophobes
Quand vient le temps de parler de grossophobie, personne ne voit complètement clair. Personne n’a une vue de 20/20.
Quand vient le temps de parler de grossophobie, personne ne voit complètement clair. Personne n’a une vue de 20/20.
Un échange qui, s’il manque (souvent) de civilités et de respect, est une bonne nouvelle. Car la faction des outré(e)s par la grossophobie est de plus en plus importante.
Après 2 semaines d’isolement à cause de la COVID-19, on a constaté une autre pandémie. La pandémie de grossophobie qui ressort de ce confinement forcé…
On a parlé à quelques occasions de grossophobie internalisée. Récemment, le sujet est revenu dans deux de nos publications consacrées à la place de la grossophobie dans un contexte de désir ou de mesures d’amaigrissement.
Récemment, on a publié un article pour ouvrir la réflexion sur l’aspect grossophobe de la perte de poids. On a eu envie de préciser certains enjeux qui peuvent ne pas être évidents à première vue pour bien comprendre en quoi la perte de poids est très souvent grossophobe.
Est-ce que perdre du poids, c’est toujours grossophobe… ? S’il est une question sur laquelle il existe un choc des idées et des mentalités, c’est bien celle-là.
On a tendance à utiliser certains termes problématiques pour identifier superficiellement certaines émotions ou réalités biologiques plus complexes.
Nathalie Simard, chanteuse chérie des Québécois(es), a récemment fait la une du magazine « La Semaine » en révélant sa « métamorphose ». Cet article présente un point de vue très problématique. Particulièrement au niveau du discours tenu par Mme Simard.
Ce texte est rédigé en réponse à « Des barrières mentales à surmonter » paru dans La Presse+ le 25 août 2019.
L’émission matinale « Salut bonjour » abordait hier le sujet chaud de la diversité corporelle. 8 min 30 pour parler d’un sujet en ondes ? Du luxe. Sauf que…