Pas de t-shirts pour les grosses femmes !
Du moins, pas de t-shirts promotionnels et autre tops corporatifs, au-delà d’un XXL. Ou alors cette industrie ne veut / sait pas qu’elles existent.
Du moins, pas de t-shirts promotionnels et autre tops corporatifs, au-delà d’un XXL. Ou alors cette industrie ne veut / sait pas qu’elles existent.
Passé une certaine taille, les corps plus gros laissent peu de personnes indifférentes. Consciemment ou non, la vision d’une personne au poids qu’on devine élevé tend à causer des questionnements chez les gens qui la voient.
Certaines des publications récentes sur le blogue et la page Facebook de Grossophobie.ca – Infos & référence ont démontré qu’il semble y avoir beaucoup d’incompréhension quant aux propos formulés par notre équipe de rédaction face à la « célébration » de la perte de poids.
Nathalie Simard, chanteuse chérie des Québécois(es), a récemment fait la une du magazine « La Semaine » en révélant sa « métamorphose ». Cet article présente un point de vue très problématique. Particulièrement au niveau du discours tenu par Mme Simard.
Petit moment de bonheur sur les ondes de « Pénélope », lundi matin, jour de la fête du travail, dans le cadre d’une discussion sur les 50 ans de l’émission « Quelle famille !É à laquelle Janette Bertrand, autrice de la série, était conviée…
Depuis quelques années, une des répliques courantes sur les médias sociaux, lorsqu’on présente des modèles taille plus, est à l’effet dela beauté. Les fameux « Moi, j’aime pas ça. » et « Je trouve pas ça beau ».
À l’image de la culture du viol, la culture de la diète consiste à maintenir un sentiment d’inadéquation de la femme.. Ce sentiment maintient cette dernière en position de soumission, de faiblesse.
Ce texte est rédigé en réponse à « Des barrières mentales à surmonter » paru dans La Presse+ le 25 août 2019.
Pourquoi accuse-t-on alors les personnes grosses, menant une vie considérée normale pour les « non-gros(ses) », de faire la promotion de l’obésité ?
Dans une récente « chronique » où il dénonce « le culte des marginaux », Richard Martineau s’annonce en pourfendeur du misérabilisme. À peine deux jours après le grand défilé de clôture de Fierté Montréal, cet ode annuel à l’ouverture… il en remet une couche en matière d’intolérance.