Le poids de… la mauvaise télé
Une abonnée de nos réseaux sociaux m’a récemment partagé la bande annonce d’une nouvelle série intitulée… Le poids de l’amour. On y suit trois couples québécois dans leur quête… de minceur.
Une abonnée de nos réseaux sociaux m’a récemment partagé la bande annonce d’une nouvelle série intitulée… Le poids de l’amour. On y suit trois couples québécois dans leur quête… de minceur.
Une certaine chroniqueuse persiste à ramener le fait que Grossophobie.ca ait dénoncé des propos grossophobes de Nathalie Simard, lors de sa sortie post-chirurgie. Elle soulève aussi que notre équipe aurait (eu) une réaction différente si un homme passait par le même processus…
Depuis 1 an, rares sont les tribunes qui n’ont pas cédé à la tentation de partager des nouvelles sur la COVID-19 et les risques augmentés allégués pour les personnes dites…
Il ne faudrait pas confondre la «divergence d’opinion» avec des propos qui frôlent dangereusement la fomentation volontaire à la haine.
Un enfant gros, seulement présenté par son tronc dénudé, mettant l’accent sur son ventre rond et ses plis. Ce n’est pas la première fois qu’on présente des troncs étêtés de corps gros lorsque les médias parlent «d’obésité».
Certaines des publications récentes sur le blogue et la page Facebook de Grossophobie.ca – Infos & référence ont démontré qu’il semble y avoir beaucoup d’incompréhension quant aux propos formulés par notre équipe de rédaction face à la «célébration» de la perte de poids.