Je suis grosse.
Avant qu’on m’accuse de faire “la promotion de l’obésité”, sachez que je ne souhaite à personne d’être ou de le devenir gros(se).
Avant qu’on m’accuse de faire “la promotion de l’obésité”, sachez que je ne souhaite à personne d’être ou de le devenir gros(se).
Le contenu auquel l’équipe s’expose est souvent plus désagréable qu’autre chose. Et l’exposition à ceci peut créer un sentiment de fatigue et d’impuissance face au phénomène grossophobe.
Somme toute, on veut souligner quoi, au juste, le vendredi 11 octobre ? La lutte contre l’obésité ou la lutte contre… les personnes grosses ?