Dès que Noël est passé, on le sait, les résolutions du Nouvel An commencent à pleuvoir. Dans le tourbillon de la fin d’année, certaines semblent plus tentantes que d’autres :
- mieux dormir ;
- mieux gérer ses finances ;
- adopter des habitudes plus écologiques ;
- et plusieurs autres…
Autant de résolutions qui ont des aspects positifs, sur soi, l’environnement, ses proches. Mais on ne peut pas en dire autant de toutes les résolutions…
Les résolutions dommageables…
Parce que, dès le 26 décembre, l’industrie de la perte de poids sature rapidement le marché. Publicités de salles d’entraînement, suppléments visant la perte de poids ou le gain de masse musculaire, diètes restrictives vendues à grands coups de bien-être…
Même lorsqu’on est sensibilisé(e) à la grossophobie, la tentation de perdre du poids peut être attirante.
Pourquoi ?
Parce qu’il est humain de vouloir faire partie du groupe le plus accepté ou de céder à l’attrait de se soustraire à la stigmatisation liée au poids. Correspondre à la norme : quelle idée excitante…
Le problème ?
On l’a dit souvent, la perte de poids volontaire est rarement durable. Pire encore, elle peut mener à diverses complications de santé.
Des meilleures résolutions…
… ça ressemblerait à quoi ? À des résolutions qui résonnent en nous. Des résolutions que l’on souhaite faire pour soi. Des résolutions qui nous ressemblent et qu’on a envie de faire toute l’année. Parce que choisir d’adopter des habitudes de vie plus équilibrées peut être bénéfique pour sa santé physique et mentale.
Mais des résolutions avec des motifs superficiels auront peu de bienfaits.
Cette année, pourquoi ne pas choisir sa santé globale ? Prendre les résolutions qui font du bien, pas celles qui font que l’on se déteste…
Et parfois, choisir sa santé, ça peut vouloir dire… de ne simplement pas en choisir, de résolutions.
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